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12 décembre 2012, Irresponsabilité !

 

indecence
Avec l'aimable autorisation de l'auteur

Mesdames et Messieurs nos élus, entre des décisions sociales de "lutte contre la pauvreté" dont aucune n'est financée, alors que nous sommes sensés lutter contre les déficits, des mesures fiscales quasi confiscatoires qui découragent l'entrepreneuriat et justifie pleinement l'exode tant de nos "riches" que de nos entreprises, une embauche d'enseignants qui, par ailleurs, se font tirer l'oreille pour plonger dans un tel bourbier sans être ceinture noire de Karaté et, dans le même temps, une opposition qui passe infiniment plus de temps à s'opposer à elle-même qu'à jouer son rôle véritable qui, surtout actuellement, devrait consister à s'élever contre une gestion du pays qui nous mène, encore et toujours, à plus de dépenses publiques et, donc, à plus de prélèvements avec les conséquences que l'on connait, par avance, ne pensez-vous pas que l'ensemble de vos attitudes respectives confine à une irresponsabilité dont nous allons tous faire les frais ?

D'un Sénat, pourtant majoritairement à gauche, qui vient de s’élever contre la suppression de la "prime de chauffage" allouée à ses membres, alors qu'au moment de l'arrivée du froid et devant la multiplication des "sans abris", il aurait tout à fait pu l'affecter symboliquement à l'aide de ceux-ci, jusqu'à des Parlementaires qui persistent à repousser à Pâques, et surtout à la Trinité, la fin du "cumul des mandats", en passant par un sommet de lutte contre le "Réchauffement climatique" qui s'est déroulé, avec grande intelligence, dans un lieu au climat plutôt "confortable" et ensoleillé, une proposition démagogique visant à déchoir de la Nationalité Française les exilés fiscaux qui, paradoxalement, pourrait concerner nombre de soutiens populaires à l'équipe en place, à commencer par la célèbre et "tennistique" "personnalité préférée des Français", sans oublier une technocratie, totalement déconnectée des réalités, qui s'agite dans "sa bulle" et nous mène à la catastrophe, il serait temps que nos dirigeants remettent, tous autant qu'ils sont, un peu les pieds sur terre en se préoccupant plus des Français et moins de leur carrière et de l'élection à venir, avant que nous ne rééditions 1789 et une célèbre "Nuit", redevenue hautement nécessaire, celle d'un certain 4 août !

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