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14 septembre 2010, deux bonnes nouvelles.

Ce sont les seules, mais c'est déjà ça.

Car, dans ce florilège d'erreurs, de ratés, de maladresses qui, tous bords confondus, finit par justifier pleinement le nom de ce site et la lettre "s" qui en signifie le pluriel, deux excellentes nouvelles parviennent néanmoins à surnager et elles proviennent de Cuba.

La première concerne le jugement que Fidel Castro vient de porter sur notre Sarkozy, qui, selon lui, serait un "fou". Jugement sévère, sans doute, mais qui tendrait à confirmer que, selon celui dont elles émanent, certaines critiques doivent être perçues comme des compliments.

Ceci étant, mettons-nous à sa place quelques instants. Comment pourrait-il imaginer qu'un président élu puisse expulser une partie de sa population alors que lui, ce grand démocrate, n'a jamais autorisé le départ du moindre de ses ressortissants de peur qu'il ne puisse bénéficier, un jour, des bienfaits de la révolution. Ne confondons pas, dans un cas, c'est de l'altruisme, dans l'autre de la folie !

La seconde est la plus merveilleuse, et de loin. Il ne va bientôt plus rester que deux pays dans lesquels on trouvera encore des communistes, la Corée du nord et la France. Il est grand temps que le WWF se préoccupe de protéger cette espèce en voie de disparition, avant qu'il ne soit trop tard. Voir Fidel Castro, ce chantre de la révolution, supprimer 500 000 fonctionnaires et les recaser dans "le privé" me fait lui proposer de venir passer quelques mois en France, tous frais payés, afin de l'y voir appliquer les mêmes recettes à la grande satisfaction d'une Gauche qui ne pourra que se réjouir de l'action d'un de ses leaders charismatique.

Amis Cubains, prêtez-nous Fidel...

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